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Page:Rattazzi - Le piège aux maris, 1865.djvu/58

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raille l’homme ; elle a l’air de lui dire : Partie de mon grand tout que caractérise la vanité, pourquoi te donner le ridicule de croire éternelles tes douleurs ou tes joies ? Les unes et les autres glissent sur ton égoïsme, comme le jour ou la nuit sur ma sérénité.