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y eût rien à craindre. Valentine avait son doigt entre mes jambes, tandis que moi j’avais le mien entre les siennes et j’avoue que je lui fis plus de plaisir que lorsque nous étions dans le bois de Château-Rouge. Elle me dit elle-même que j’avais fait des progrès dans cet exercice et que mon doigt était beaucoup plus habile qu’autrefois.

Quand nous fûmes bien diverties, nous restâmes la tête sur l’oreiller un moment à nous reposer, puis Valentine tout d’un coup me dit à voix basse :

— Tournons-nous le dos.

Sans savoir ce qu’elle veut faire, je me tourne et elle se tourne aussi. Elle avance le fessier, puis je sens qu’elle le gonfle et qu’elle écrase le mien ; enfin, elle me presse si bien le derrière qu’elle en met la jointure sur mon cul, trou contre trou, je sens qu’elle pousse toujours, tout d’un coup un vent sifflant m’arrive dans le derrière et vient éclater à l’entrée. Je ris :

— Fais comme moi, dit Valentine, nous allons jouer au jeu d’échange-vent, c’est très amusant, tu vas voir.

Je me suis prêtée à son caprice, et les