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et pendant ce temps je frottais vivement la petite languette rose de sa fente, puis je picotais le bouton mignon et ses jolies lèvres comme Valentine me l’avait appris à lui faire. Elle se tordait, voulait me repousser, disant toujours :

— Assez ! Assez !

Mais je continuais sans relâche, sans fatigue. Enfin je vis qu’elle allait se pâmer, je lui entrai un doigt dans le trou du derrière et je secouai énergiquement le petit goulot. Elle se roula sur le lit, puis demeura immobile les bras étendus.

— Oh, mon Dieu ! dit-elle en se relevant au bout d’un instant comme si elle se réveillait d’un rêve, je vais être damnée.

— Non, seulement ce soir, quand la sœur dormira, tu viendras dans mon lit. Je t’apprendrai autre chose.

— Quoi donc ?

— La sœur m’a fessée ce matin, eh bien il faut que tu me rendes ce que je viens de te faire.

— Ça, jamais !

— Alors je raconte à la sœur que tu t’es touchée entre les fesses.