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— Elle ne te croira pas.

— Elle croira tout de toi depuis ta correction d’hier soir. Ah ! maintenant, tu es, que tu le veuilles ou non, ma petite chose.

— Ah ! mon Dieu ! secourez-moi ! s’écria-t-elle.

— Va, je ne te ferai pas de mal, tu peux être tranquille. Je rendrai heureuses tes petites fesses que la sœur a meurtries si cruellement. Et puis aussi quand la sœur te fessera, car elle te refessera.

— Tu crois ?

— C’est sûr. Quand elle te refessera donc, remue ton derrière sous les coups, et au lieu d’avoir mal, au moins sur le moment, tu n’auras que du plaisir.

— J’en aurai, dit Germaine.