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mari qui te le mettra, il est bien trop vieux… et puis ne pense pas à cela, nous ne devons penser qu’à nous aimer. Tiens, couche-toi à ma place, et moi, je vais monter sur toi.

Un instant elle m’offrit l’épanouissement de sa croupe. Son cul se présenta dans l’encadrement des dentelles, magnificence narquoise, il se dessina, s’agrandit peu à peu, devint énorme. Il riait comme une figure, grimaçait comme un monstre, grave et bouffon en même temps. Tout à coup, ainsi qu’une fraise rouge sous mes baisers et mes morsures, Valentine me tendit l’anneau de son cul poinçonné de noir. J’y écrasai ma bouche, tandis qu’elle abaissait la tête entre mes jambes qui se levèrent et emprisonnèrent ses épaules. Je l’entends rire entre mes cuisses.

— Rose, tu as vessé.

— C’est toi, Valentine, qui a pété.

— Ah ! c’est si exquis de s’abandonner à toute la joie qui est en vous. On ne sait plus ce qu’on fait. On laisse tout s’accomplir en soi. Et puis tout ce qui sort de notre chair me transporte. Comme l’halei-