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— Tu ne m’accompagnes pas ? fait-elle.

Je la regardai en riant, mais un peu étonnée de cette liberté.

— Viens avec moi aux latrines, dit-elle alors, j’ai envie.

Je la suivis. Une fois entrées, nous fermons la porte à clef, puis Valentine retrousse jupes, robes, chemise et étale son cul qui est fort large. Alors elle me fit entendre une véritable musique avec son derrière. Des sons de flûte suivaient de longues et bizarres décharges d’artillerie, puis des notes vives, des voix de basses se succédaient au milieu de parfums peu délicats. À la fin, elle se courba le derrière en avant, et je vis un gros boudin jaune qui lui pendait entre les fesses. Elle fit tout le tour des latrines et dansant avec son étron au cul, et enfin montant sur le siège et s’accroupissant devant le trou, elle l’y laissa tomber.

— À ton tour, me dit-elle.

Mes mains sur les hanches je riais à gorge déployée, et le rire me secouait si bien le ventre que, malgré moi, je lâchai des pets au nez de Valentine qui s’était