Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome14.djvu/102

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PlUMfkTtÙ. -M d. TMbarj m Aagk*^. Ü y &it la à’ttm aMoiMlkMi d boaMnw da kmw «déwieat à la coostraetiaa d« ^Ru. «nn tialDOwnt {Kxir cela dM ebaia à la 2Sra dM bte»*. •» qoi •’•«igpaiai» à «.üM pratiqa» reBf^eàe». Cal» noaadla d^ wtioB *«»* comnaaeé à la coiuInMdoa de figliM de Chartrea. et e’étoit propa(te » d*aiilree

      • CVÏI. Maître Giraud, qui a campcêé la vie

ia bieaheorettx Jean, évêqoe de Valence, a décrit h fondation de l’abbaye de Bonnevàux, ao diocèae de Vienne, dont Jean fut le prr^er abbé, et engnite rétat déplorable aoqud etoit réduit le diooéM de Valence, lorrtp’il fat mia à la place de l’éréqae Enàacte.t... CVIII. Non* réunisaons trois nobces, tirée* tant da cartulaire ma. de l’égliae d’Auch, que des chronique » impriinées de D. Clément de Bnigelies, touchant le droit de cimetière, qui fut pendant loog-temps un objet de contestation entre l’égUae cathédrale et les moines de S. Orento. Ce ijroit bcratif fat plaidé avec chaleur devant pluaieurs conciles, jusqu’à ce qu’une loi générale accorda à . tontes les églises matricea le droit de sépulture. . CIX. li est prouvé par le livre des translations de* reliques de S. Meame, où il est parié du voyage de Godefroi, évéque de Langres, en Palestine, qu’on impotoit quelquefois aux Mlises des subsitos extraordinaires, sur-tout lorsqu’il iTagissoit d’une expédition à la Terre-sainte. La même chose est prouvée par un autre écrit que nons avons imprimé tome Xll, p. 94, où 1 on voit que Tabbé de Fleuri fut imposé à la somme de 300 marcs d’argent et de 500 besans d’or. A Tappui de ce dernier écrit, nous iuiprimons ici une note des moines de Fleuri, oouvellenient trouvée, qui a rapport au même objet. ex. Quoique les historiens des croisades ne doivent pas entrer dans notre collection, nous donnons cei>eodant la lettre du moine Arnoul dan» laquelle il décrit la prise de Lisbonne sur les Sarrasins, par une armée navale qui étoit pllirlie de Flandre et de Lorraine ; parce que cette expédition est différente des autres qui avoient pour objet la Palestine. Nou* tâchons de faire connoltre ce moine Arnoul, que d’autres appellent Raoul. CXI. Geoffroi, disciple et secrétaire de saint Bernard, écrivit, vers Van 1188, à la prière de Henri, évéque d’Albano, légat en France, ce qui s’étoit passé, quarante ans auparavant, au concile de Reims de 1148, relativement à la condamnation de Gilbert de la Porrée, évéque de Poitiers. Nous opposons quelquefois à son récit le témoignage d’Otton, év^ue de Frisingue. CXlI. On voit dans la vie de S. Etienne, fondateur de Tabbaye d’Obaziue, écrite par un de ses disciples, quels autres monastères il avoit wndés ; celui de Bonne-aigue et de Doumi^souou le Pestre, transféré ensuite à la Valette, u fi ** ümosin ; celui de la Garde-Dieu, dans je Querci ; celui de la Prenade, dans la Saintonge. Ot^‘‘toongrégatiOA i celle de Tom» XIV. f.tdasdriMbrtnewsrsHÿfefms ■arimm tam nMlHià foim yfséssoriw» imcmaü iUt aà mnirmméu mehuai, aatmmma Yqüffiamt frimmlfm trakamU, mon bntonm «Hu’urfiinw, eorUtqm m Jo§Skim at pmlsfis oporibmiaMtrimgonmt. At home wmdameaMntc-Um fiitm CmmtUmmm eeçkmm, H m «/tu loeit alùu, éoeet. . CV//. Qm oitam È. Joomtû »pi$eopi Va/mffiMMM liurii mandooit magùter Giraudm, abboHa Bonm-vallù m diœcori Vimnensi, cujui ille primta Ma» fait, origmem deterüit ; tum Vatoiteusust eeeieoia sub epùeopo Eaataekio, eajui m locum taffeeius est Jommu, dmolMonom. CVIII. De jwe cemMerii, diù eontroverso inter Ausciensem eeektiam S. Maria et monachos S. Orienta, très notitias damus, tum ew chattulario me, eeeletim Auecionns, tum ex editis D. ClemenH» de SiugellesdlévitiCM .qua eontrooersia cùm phàrmu» iu ecnciliis, tamquam pro oris et fieis, fuisset agitata, tandem communi lege sancitum est ut mairicibtts ecclesiis libéra esset mortuorum sepultura. CIX. Imperata fuisse ecclesiù insolila quandoque suâsidta , præsertim gratià suscipienda Jerosolgmitana expeditionù, liquet ex libro de Iranslationibus reliquiarum S. Mamantis martyris, Ai de profeclione Godefridi episcopi Lingonensis «n Palastinan agitur ; liquet et ex alio scripto â nobis edito tomo XII, p. 94, ubi legimus abbati Floriacensi Machario imperatum fuisse tributum 300 marcAorum argenti et 500 bisanciorum auri,evi scripto illustranda Aie adjicimus notam Floriacennum tnonachoçsm, à nobis nuper inventam. ex. Quamquam instituti nostri non sit cruce signatorum et sacrarum expeditionum historias huic iqserere collectioni, nihilominus epistolam Arnulfi monachi de l’lixisbona Saracenis erepta à navali exercitu Flandrensium el Lothariensium damus, quia diversa est hcec expedilio A aliis in Palastinam susceptis. Quis ille fuerit Amulfiu, ab aliis Radulfus dictus, investigamus. CXI. Gesta in concilio Remensi anni 1148, de condemnatione Gilbcrti Porretani, Piclavensis episcopi, scripsit circa an. 1188 Gaufredus quondam S. Bemardi discipulus ei notarius, rogalus ab Uenrico Albanensi episcopo, A. S. legato : cujusnarrationiopponimus interdum OUonis episcopi Frisingensis testimonium. CXII. In vita B. Stephani Obasinensis Abatiæ conditorts, scripta ab anonymo ejus disciptdo, videre esl qua ille monasteria exslruxeril, Bonam-aquom, Domiscum, ad Valetam deinde in pago Lemovicino translatum, Guardiam-Dei in Caturcino, Frenadam in Sanlonico : quæ omnia postmodum Cisterciensi sAjecit monasterio. n ViuS.J nis cpise. Talentia. p.319. d« jurée terii in nitw Anscieasi, p. 331. De tnmsUtionibnsreliqiûa- nim S. Usmantis, pa». 32i. De l’Iixisliona Sarracenis cre[)»a , etc. p. 325. De coiHlemnatioae Gil- berti Porrelani, pag. 337. VitaS.Stephani Obasi* n« ?nsM,p.33i.