Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome14.djvu/12

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

cUlear évéché, au préjudioa «b ccliii <fo IfojOB. • J«. Toaa «Umanda en grien* vL, Mr I» fioéltté > que je vous dois, je vous consbU» d« n« pas • accorder leur demande, » mms •» voulex eaxster > m Fnaca le uhime qm a mulni ta Germama contre le minl-tkm. • (^, cette séjponuioa Mora

étoit d’autant plua i craindra pour l’éguae Romaine , qu’Urbain 11 Nschsl^lui-mérae , aa » tieni fiiitlfd^rogimmMeommdimmt... a ne héc occaaiooc acfaiaiwa quod est io • ,Gemanieo regao adversàs aedera i^os- ■ tolicaaa, iaGaUiamat ragnoanacitetia. > cbcrchàreatdepuialeursûvetécoatrelaperaécuhon. Porté diuettio Ma «à magiê emtmlm «rat apottoUcm todi, quàé, faroentünu eam ralore ditaidiie, perfugium m Franeiam facere coacti estent Vrbanut Ii et ipee Ptuehali»,. nec mcMÙa opportunum deincept otylum ibidem t» affüclit rebut itwenérint Gelatiut II, Innoeenliat item U , Eugenius Ht el Âlewar. IIL

p T ^t —t ,t rt

plus (drl de burs déméiés svee les Emperanrs , avoient été trop heuraux de trouver un asile en France, de même qun leurs aueceasears Gélaae II, Innocent II , Eugène Ul, et Alexandre Ul, y • petimue mlâe tmieee éheenetm, A i • fVaneerms paet et mmmi mrtmioai i • wénrjttrâM autdeatar. Qmà idein»pim~ » lüamie, qpia audioûmn «kritm Tenta » eamrai apeelùlirem teint eeaitte, psri. ■ turas. Mi wpmtelieA praeeptione preptiwm » poemU htJbere epieiepem, «i Reotw—iiil eeeleeia frmlrmpe prioüegitm. (pted m /tel. II-

DesUgett et de ktert ftmctimu, gu’o» toèiru, nom tant contrméieiion, mmù avec petiente. ’ ï. Les Pontifes de Ronse ne trouvèrent paa de inpyen plus expédient pour étendre hors oe leur di(vbése l’autonté papale, que l’envoi des légats. Nous ne parlons point de cette autorité que le suc> cesseur de S. Pierre exerce dans toute l’église en m.-ttiére de dogme et de discipline, mais de celle qui tendoit à restreindre la juridiction ordinaire desévéques, et qui avoit déjà fait de grands progrès. C :’est la raison pour laquelle on voit, dans la période de l’histoire de France que nous parcourons, tant de légats à latere, et tant de resprits émanés du saiiit-siége. Depuis la cessation du vicariat d’Arles, jusqu’à celte époque, on n’envoyoil des légats que pour des causes majeures, ou lorsqu’il étoit question de juger par appel les causes des évéques dans leurs provutces. Mais vers le inilieù du xi.* siècle on imagina un autre motif d’envoyer des {égats, le soin de toutes les églises, qui pèse sur la tête du. souverain Pontife : comme si, à ce .titre, il étoit obligé de gouverner et de visiter en personne toutes les églises. Voyez la lettre d’Alexandre U aux évéques de France. Ce principe une fois établi, l’envoi des légats a dû se succéder sans disconliii nation ; et c’est ce qui est arrivé. Un voit en France une suite non interrompue de légats, à qui l’on distribuoit les dilTéreiites parties du royaume, pour exercer leur légation , tantôt en particuber, tantôt conjoiiUemenl avec d’autres. 8.tOr telle étoit Taulorité des légats, qu’elle éclipsoil celle des métropoblains et des conciles provinciaux- Ils avoieot le droit de convoquer le concile général tles provinces qui étoient soumises à leur légation, et ils y présidoient au-dessus des iiié’ropohtains. Non-seulement, ils jugeoient dans les conciles ; mais, s’il s’élevait des contestations sur les élections des évêques, ou des plaintes sur leur conduite, elles étoient portées quelquefois au tribunal du légat, avant mêoM que le» évéques de la iroviiice en eussent pris coDooissance, comme on e voit dans la lettre 68 d’IvM de Chartres. C’est en leur qom que les canons el les omstUulioos des n.

De LcgsliB et Legatora» moniis, quando- «|ue MnpngMiMe sed patienter toleratis. 7. Eiaercendm et retinenda, extra Romenam diœcetim pontifieia aueterilalit ( non illim qum circe fidei dagmnta et eanones discipUna condendot tedi B. Pétri competil, et in omnes eccletùu exiendilur ; sed illùu qua in deirùnentum ordinaria episcoporum juritdiclionùpaulatim eltine trntn inrreverat non alia oppartunior visa est Remattis Ponti /lcibut via, qtêàin legalorum adminiculis ni’ . Uine ea legalorum apostol>ca tedi s frequeu ■ lia, et latfla retcriplorum papalium copia in hac quam percurrimus historia Fra ne ica perio do. Bactenut infrequcru fuerat, çx quo cessaverat Àrelalentium tpitcoporum vicarialus, legalorum à latere utm, nec nisi pro majoribus cautit epitcoporum ad novum examen in ipta provinciarevocanditmilli toliti erantlegati.Al medio taculo xi alia mittendorum legalorum excogit^a fuit nécessitas, scilicet omnium ecclesiarnm tollicilndo qua impotila est Romano Ponti/utt f quasi eo nomine tenealur eccletias omnes ^rtonalUer regere et visilare. Vide Alexanari II epitt. adepitc. Güllia. Alqui, eo temel admitto prineipio, perpétuas eue debuit legalorum dispursut : et quidem in amnem tcrram exivit tonus eorum ; et in Francia nostra conlismam legalorum teriem invenies , quibus dispertila tranl diversa regni parles, ut legationem suam seorsim obirenl, et aiiquando conjunctim.

8. Porrà tanta erat legalorum aucloritas, Qoaeiq ul melTopolitanorum etconcüiorum provincia- • Itum jura conoelleret. Eorum erat concilia generalia, ex provinciit quæ intra terminos leyalionis ipsorum continebantur , indicere ; in hit primutn locum lenere, etiam supra metropoiitanos. De episcoporum eleclionibut et eorum moribus soit quandoque pronunciabant, antequam intra provinciant üeret eorum discussio, lit rot Ivonis Carnotensis epistola T ^V.p, 68 colligtlur. Canottet el contlilulionet suas in conciliit promtilgare tolili erant ; sed fat eit erat apotUdica tedit judkio Mas reservare T.

S34.