Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome16.djvu/38

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

•̃̃ • "•̃ ♦̃,•̃ ̃ ̃ ̃̃̃̃ ̃̃̃.̃̃.mm* ’] ET DE 6UPERBUCTA BERXRADA ANBÉGAVENSI. xuiy Ibi.1. }>. 1*7. j Dç fonnula ir^ruiata Chriito, p. 28. ~M< Mt< <~m )MHC Tune XVI. k juge d’égte^stJonto formes atorlUiiléeK h nuuWde son mariage, soit pour cause déparante, soit pour toute autre nuise. ; car la icai n’arcuriHoit pas alors, la demande’ «o divorce pour incompatibilité’ d’humeurs. f La manière de procéder dam ce» aortes e jugement est connue c’était d’toembier lèt éwéques pour recevoir le «eraeat des plu* proches paréos des conjoints ; lesquels attestolcnts ^u’il .exjstoit cotre eux pSrente ou affinité à un des degr^ prohibé^ d’où ré-) autant la nullité Su mariage. C’est ainsi qu’au râppocfr de l’abbé Suger ou de l’anonyme qui a compose* l’histoire du Roi LouisfeJeune, il fut procédé, Fan 1152, à la dissolution du mariage de ce Prince et de la Reine Eléonore. c Dé" proches parens du > Roi, dit-il, lui représentèrent qu’il y avoit » proximité de sang entre lui et la rReine > son épouse ce qu’ils promirent d’affirmer > par serment. Le Roi, ainsi averti, déclara > qu’il ne vouloit plus avoir Ëléoiiore pour » épousé au mépris des lois de l’Eglise > catholique. C’est pourquoi Hugues, arche> vèque de Sens assembla, un concile à > Baugenci, auquel assistèrent le Roi et la Reine Eléonore, Samson, archevêque de » Reims, Hugues de Rouen, et celui qui » remplissoit alors le siège de Bordeaux, dont le nom m’est échappé, avec plusieurs » de leurs évêques suftragans, et presque » tous les grands et tous les barons du » royaume. Là, c’est-à-dire, à Baugenci comme il a été dit, les parens du Roi » aftirtnèrent avec serment ainsi qu’ils » avoient promu de le faire, qu’il existoit » réellement proximité de sang, a un des » degrés prohil>és, entre le Roi et la Reine, Ainsi fut dissous le mariage de Louis-le» Jeune et de la reine Eléonore. » pas impœsi~ qu’il -4l-nàiûit pas impossible dejprouver qu’il y avoit parenté entre Philippe et la Reine Berte, à quelqu’un des degrés prohibés qui s’étendoient alors, jusqu’au septième. Blondel s’est donné la peine d’établir cette parenté dans un tableau généalogique qu’il en a dressé. Mais il ne parolt pas que cette procédure ait été faite ; le jugement qui aurait J ,sw^~·~xa~^r-r-· –W. "°"· .=. h •’ ^r’ r » ’.• ’BkM. • Ift^ttA JR^M^^BB ^f^^A^M^ fl^l^k^M ÊÊ^. fltfVB mmmi ohÀ 4V wiÉrtimtyitfft iuiKciéti mi* ~rt~ ~o~ filÚI ^^±^£^ ^^lJ^ dU^ta M^^JIL^to ^^k^A ^h CMfWH^lv • SMH’ ÊHKKK ̃̃ SBnRMVWW <M<e <<t<<. ax ,~els "sa,~uu, Bmc «mtm «rai « tfMtmodi catui» juàbk ottip «I ai emgugatù opponerttur nitmmgmmtatU impedimentum gtMTt prtGtM à cmm tpueopu lett&i tan fatmmt talm ̃ reotrà mlercedere ) eùfmtimtm «•* affmtmtsm qtm mtm- ¡liàa Pond ed rotkm tahtpm fume, ’mm 1 1 52, Régi» Imàomd VU atm AU/mam tmmMmm, auctorem kalmm» Sugorium vel anonymum qui Régit Ludovià hutariam taiïptù makdavit. « ActeasmnU, inquit, »/ ad Regan Ludoviam quidam propitupii et amumgumei sut, et conve> ncrunt eum, diotnte* quàd inter ipsum j» et Itegmam Alienaridem cmjugm > suam Unea consanguiniUitis erat > quod etiam juramento firmare nrrnni> terunt. Audient hoc Bex noluit contra » Ugem catiulkam ulteriùt uxorem » kabere. Prvmde Hugo Semmmm • archiepucapta convacavit utrumque » videlket Rtgem Lttdovicum et Rtgi» nom Alienoridem taUe yr<r*entwm > «um apud Baugentiacum, ubi » etiam ’ptmtonmt Sammm [tenterais, > Hugo Rotor^agam* et cuju» nomen » dm tewo Burdegalenm archiepts» «pi qu iam r-ioque tuffrayanei > ipmrvM neenon opttmatum et baro>«m regui Francùe non minima pars. » Qmbut (mgregatit in Castro suprà » memorato, pradicti consanguinei Ite» gis juramentum, quod facturas te fore » prmmterani exeatti sunt vulelurt » quod Rex et Regim Alienor affiiuta» tis conianguinitate propinqui erant. ( » Et sic inter me matrimmti copula toluta têt. » Matrimomo Ptylippi cum Itegina Berta mtercessùêe cognationem aliquam tegibus, ad seplimuin usque <jradum prohibttam hmd impostibile erat Jfnf/t-ffi-jjm*- qnnm qtttdrm çrimiiifn) nem^&tmdmiu edito stemt>uuiy^re=prasentavit. At nulb constat argument !) ,r r, actionem illam intmtatam fuisse ,̃ rei f.