Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome16.djvu/39

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xxxiv DE REPUDIATA A KfiGE PHILIPPO BERTA, T. XV, |, 7i. I ). f (’ « :i .1. i> -i juAVofte BwfrwnflilwJi w» campant, «ri nse ejut «Mu mmtimm MW hûlo- n*e rt<tM. FkUippui Utmtm mm 1092, «tatan m 4 bgw priorii matrimmii *rbi- do fro/wfw. CfeR «wm Itmem : Camo- dis {*uem «p^eojwm fcmfaMef «a eatterù à <*m epxmpU mptûtnm mamm am qu Bertrada $olem*iïs mtermet, tmeripàt da

!m «put. 15. •» «njrtMf «/» pferitouM ! les 

rottiù «tterewe iw* fote. c Sieut à 1 SerenitaH vaUnt dm pratent mte » » jurammtum vettrum, il» ntme icribo » » absent tpw *««< nuptiarum tolem- » » rn/nri, ad quiîtn me vocatù, mlmm » « ner volo nec valm, niti priât gène- » t> rali» cmcilii diffimtione decretum este » .i cngnoscam mter vo* et uxorern ve*- » » tram legitimvm interveniue divor- ♦ b tium f- cum ixta quant ducere mlti» » » let/hùnum vo* i*ire poue matrhno- » » nium. *(ec iêla centra fidelitalem «  » -yulram sed pro tumma fùbliUU » » direre me arbitror, cùm hoc et anfmce D » ve.ilra> magnum errdam fore detri- » » menturi, et cormœ regni vettri mm- » i> muni jxriculum. Qumiam l’en Philipptis asserebal cnuxam inter ipsum et urnrem swm d plant drfinitam fuisse apostnlira ; tedis si nuetnritate, et rpiscnpnrum prmtndir le Hmimm laudatione rr verUatem à v linmldj)/ Remensi ar< yiscopo tris- v i ritaniftim ctnmtit Ivo data ad rum «  1 hujuitmndi literis « Quôd per me minus «  » napio vetttro cœtemrumque c^nsiltn » » )mtdentium infarmari vel cokfirmari » » dt-.iidero. Nuper cùm à domino nostro » « liège fuixtem invitatu* ad collnquium, » » qtwrumdam malifolorum mearmn sug- t. » (infirme me rogavit, ut essem etjaft- < jutnr in ceUbraitdis nuptiit quas (arrre «  » tlixjwmebat de Bertrada dicta conjugt r r> Comilis yAntiegavfiimsL A quod cùm i » nx*mdùsem non if oportere JL03 i n qunniam nondutu estecausa dwbti/rt iiitt-r 1111 i ipsum et uxeorwe~,t l’4_UI/J d us a n infw iptnm et uxaremefa teàfàtus y Mf pkniter diffintlam eue apotjplicâ aurlfirittffe’, et vettrti vettnmmque n ok-jnscopmum Inudatione. Quo au» -dilo, renpnndi me hoc ignorare, nec » Intjutmodi nuptiis velle intéresse in p nui esseil* enrum tmsecrator et due>. (or e1 coepisi-opi vestri auertores » et axfcratores quoniam competit jun ecclesiœ w*tr« eje ajmtolktt > » «rivi n’existe nulle part aucun historien n’en a parlé. Cependant Philippe, l’an 1092 regardott «on premier mariage comme légaiemrat (iissouft. Ayant invité l’évéque de Chartres à ’assister avec les autres évèques à celui qu’il vouloit contracter avec Bertrade, Ives, dans une lettre qu’il lui écrivit, lui expose les raisons «fu’i ! avoit de ne pas se trouver à la cérémonie. « Ce que j’ai eu l’honneur » de dire de vive voix à votre Sérénité, je » le lui déclare maintenant par écrit je ne > veut ni ne puis assister à la célébration » du mariage auquel je suis invité, à moins » que vous ne fassiez connoître par la » décision (fune assemblée ecclésiastique » ( generalis cmcilii J, qu’il est intervnu » entre vous «t votre première épouse un » divorce légal, et que rien ne s’oppose à » votre nouveau mariapré En disant cela, » je ne crois pas manquer à la fxlélitc que je » vous dois ; bien au contraire, c’est la ineil» leur* preuve que je puisse vous donner de » ma fidélité, parce qu’à mon avis la dé» marche que vous nlW. faire formera un » obstacle au salut de votre a me, et mettra » peut-être en danger la couronne que vous » portez. » Comme le Roi allé^uoit que l’affaire du divorce étoit terminée par une décision du r siège apostolufue, à laquelle a voient applaudi tes évêques de la province de Reims, Ives, i voulant s’assurer du fait, écrivit à l’archevéque Renaud du Iîellay en ces termes i « Dans l’emlMirras où je me trouve, j’ai !*•» soin de recourir à vos conseils et à «vu* ) » des personnes plus ù-lairves que moi. Dans i » une conférence que j’ai eue tout réceniiiient o > avec le Roi, il m’a pré de le seconder dans » le projet qu’il a d’épouser llcrtrade, laquelle » passe pour être la femme du Comte d’An» jou. Je crois que cette proposition, de la e » part du Roi. est un piège que m’ont tendu v » mes ennemis. Ayant répondu que je ne n » pouvois pas le seconder attendu que » î’.iffaiic du divorce aee la Reine Rci-te a » n’étoit pas terminée, il m’a assuré qu’elle « » l’étoit pleinement jwr une décision «lu •a » saint siège, à laquelle vous et tes cvèqiu"» ̃te » vos suflragans av^/ souscrit. J’ai répandu <- » que je ne eonnoissois |>as cette décision, ec et que je n’assisterais point a la corcmonie in » «le son mariage, à moins qu’elle ne se lit r- » par vos mains, en présence des évèques ̃es » de la province, selon l’usage et le droit (il » al ta clic votre siège. Bien jH’rsn ;»J*. que, ca » dans |ine allaite si épineuse quiN pt*ut.