v ET DE SCPERpprTA BERT RADA ANDE&AVENSL m^j T. XII, {̃. W7 R« ; Ifak l’CTprp«o«^ Geofihoi M»hiterrii, i eà MMMtolr, «t trop ntfoe pour «a «on- t ri*»** déjà, Tan 1085 ou 1086, Phi- i lippe «Toit obtenu du Ripe et des évéques 1 de France la dtaolution de son premier nw- < nage. Noos avons déjà vu que, Van 1092, Ive* dé Chartres ignorait encore qu’il «pistât I mit cela un jugement définitif. Supposons ce que nom tommes loin d’accorder, q«e Philippe «uroit réussi i ( n’importe en quel temps ) à faire’ casser t son premîer mariage il faudroit encore i ton pr~nrer nMriMe H faudroit encore s examiner a Bertradé étoit fibre d’en con- i tracter un second. Elle ëtoit mariée au Comte d’Anjou Foul^uesJe-Rechin qui à la vérité, l’avoit épousé* du vivant de deux autres femmes qu’il avoit répudiées, comme disent tous les historiens e^t .c’est à cause de cela qu’on a prétendu que son mariage avec le Roi Philippe n’etoit pas/ contraire aux Jois. Yoyons donc si elle étoit bien ou mal mariée avec le Comte d’Anjou car, si les précédons mariages du Comte avoient été rompus en bonne et due Mfime, Bertrade n’étoit plus libre de quitter son mari pour en épouser un autre. » II est certain que Foulques avoit eu plusieurs femmes avant qu’il épousât Bertrade. L’histoire parle de Hildegarcie de Baugetiei, sa premièré femme ; mais cette-ci étoit morte à l’époque du mariage avec Bertrade et même elle ne vivoit plus, selon tes gestes des (x>mtes d’Anjou, lorsque Foulques épousa Ernwngarde de Bourbon, sa seconde femme. Voici comment s’exprime l’auteur de ces g es tus « Foule |iie», dit-il eut plusieurs « femmes : la prenùère ( nommée Hilde» partie ) etoit fille de Lancelin de Baugenci, » inère de cette Comtesse de Bretagne (Er• inengarde), qui, après la mort de son » mari (Alain Fergent), embrassa la vie » religieuse dans le monastère de Sainte» Anne à Jérusalem. Iliklegarde étant morte, Foulques épousa Ermengarde de Bourbon, » fille d’Archambaud surnommé le Fort, » laquelle le fit père de Geofroi Martel » Prince admirable, doué des plus belles » qualités et grand justicier qui fut la » terreur de tous ses ennemis. » II est vrai qu’à l’époque du mariage de Bertrade Ermengarde de BourlxMi étoit encore en vie ; mais, bien loin que Foulques le Rwhin l’eût arbitrairement répudiée il fut contraint de s’en séparer par l’autorité du Pape Grégoire VII. Nous voyons par la lettre que ce Pontife lui écrivit l’an 1077, que ce Comte avoit été excommunié par wirfci, c* twnpestate,~ mnwàtn vufet mM( « indUtrminala, «I e» Us confia pomt PhtUppi matrfmtmèmn, mu» 1085 vel ÎO^B, j*m *m vmûd BotmaM Pontifia» et e~ira~i~at~ Gallie /Iti~r .aotutum, IMI v^l|l0f’’tWf9 0IMO IVwjSi Darum tarnm, tftnd «m emeedmus, Philipptm ûlùpumik 4 kg* priorit matrimemii riti tâluUm,- ituptirmdwn adhue venit an Btrtradœ Ucitum met altérai, ntictevin tué, «mbire nuptiat. Nupterat Ma Fnlrnii Richbto Comiti Andeyonwu», eigta tupentiU* ermt uxoret dm ab M refmdiaim, prout loqtmntur hulorià mue» unit volunt quidam infirmai fuiue ejut etan Fultxme nuptùu nte Uge vetitum qum aliud ipta am Philippo moliretur amjugium. Invatigmuhm igitur an Irgitimtm M omet am Fmleotu cmnubiurifi posito mim quM riti toîuta tuent priora Comiti» mntrimonia Bertradm niilltu relinqwbatur aditui quo pouet d viro ir«dere. Certum quidtm est Rfchmum antequam Bertradm ne ille. cmjungeret pluribtu allujatum fuiue uxoribut. Prima ab hutorids memorata oeewrit Hildegardit de Baigenciaeo vert’un ha>c morti (Ubitum tolvtrat eo Umpore quo Riehinu» Bertradam duxit immo etiam, Bi fidtê anonymo qui Andegaveniiwn Contulum ge$ta deêcripstt priusquam ille tecundit se copularel nupliis cum Erméngardi de Borbonio. Hmc sont anonymi verba ̃̃ c Fuie» T. > phares duxit uxores, filiam Luncelini » de Baugènciaco ex qua orta est > Camitissa Bvitanniœ illa qua, post » obitum viri mi, Jérusalem in ecclexia » Sanrtm Annie tritam. mvnialem erer» cuit. Post mortem filim LanceUni r » duxit Ermengardim filiam Arcim> baldi Fortis de Borhmio ex qua » garnit Gaufridtun •Martelium ailmi» rabilem mrum justitid insignew, » totius boni cultorem, ipn terror omtuutn » inimieorum fuit. » In vivis quidem ngebat Ertiungardi* de Borbonio cùm Richmus BertnuUtm duceret sed, nedum eam ille sponte »uâ repudiaverit cerlo Ceriiui tat ctri~’1n à Papa Gregorio Vil imperatum fuisse «t ab ea « disjungeret. Ex epistola enim Gregorii scripla anno 1077, collujimus Iticlmwm ab Eusebio
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