Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome16.djvu/43

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

> xmiij DE RHPUDIATA A ftBfi$ PHHilPPO BERTA, i T. XIV, p. 610. i ( u. Ibùl. p. 610. G Ibi. p, 1116, » s ~M~MOf~ y a~i .tnfoKtoM » «meut» f*im nfetUam, » ? ewn ab illiciii* atm Ermengtrds utptu* ̃ ̃ retnMertt. AU mini Ciiywàn (M. £T, <f««. 22) « MU"* «̃ > flNWf 0m$tfWm f ywTWMwi jmmmm > /tan pr Ga/Iwwn jmrtes Mffmam » «t «taw ad apottolka tedi* notitUtm tperlatam, mtutia diabeti psttnt pm» valere, ut qui Adam f» wmUtrm » de paradùo eetpnm, « ptr eumdem » texum eddem glèrii et kuju* vitm » hmdaUli fmnâ privant, et multa bma » ma irto AwyJiMtt «w J«mw tm> fondent. Cujtu ra yraltt ai «ywccafw » tao corrtctu « aoeemmummbu ut s à tanto pericuk ta et amjtmetam tibi > erueret « dmwn tuam à perpétua » infanùa Ubetwe* non tolùm Deo et » /wtitta non mtùfemti ted et ipnm > epUcopum, eut, «fiflnui mjwtam super te «»if«t(iam dedxtset efodire aV» fa«jnu «wfra m«»wn œqvitatit tua > tyronniéé nuemtiu m. Qadd ai > imionmttffm team mper koe negotio » confiai* poue probari videtwr nobis > perutUe ut tynodut conttituahtr, eut > legati nottri -Hugo Ditnsi* epiuopua » et Richard* vel alter eorum, inter» tit, ut in audientia reHgtetorum viro» rum pouit perqutri quid m te oei > tententia tuper te prolata, debeat emendari. t Ea ex epittola non liç uet an Fulcmit rum Ermenqarde matrimomum ab epi*copo impetitum fiierit tamquam adulterinum, an velut incestum. Cùm verà tradat auctor gettorum Andega»entwm Coruulum priorem Rickmi cmjugem vitd functam dum Ermengardm Me acciperet in uxorem arnaquent ett ut non aliud et quàm consanguimtati* opponeretur impedimentum. Uabitttm itaque fuit ea de re prout imperatum à Gregorio Papa fuerat, PicUmente concilium mente januario anni 1078 ab Hugone Diensi epiteopo eekbratum in quo Richinut onrnem lapiden^momt, uxorem ut retineret tuam. Onde ad Gregorium teribent Hugo « Coûta* » inquit Andegavenji* Cmiti* ncut s pnecepittit ab iptiut ore amdientet, » rationabile* peni credidimut ; ted, de > abtoiutione ejut non pnttmtentet e » diffinitionem huju* rei prudentiœ Sano» titati* vcttroB comtmitmu*. » fetêqnë d’Att~. p<~ ~t Mamo~e •e jéprar de m fa"», q"1 *roit ^otté, en wmnvtuwo *O lau. < Comfxemnx, ` » t«l4l tT. IX, f^tt. 22, h brift»nte oîputàtiott dont tni jotmf t cd Fnmce, et » ^oi «st pirwmie pw^i’an aige a|jqrt«>-Sqne, ooa» »»«b«« virtiin«it j^Èj^ d’«p» prendre qne !• difble, mn, par le mo^ên d’une femme cfaaaoa jadis le prêter » homme du pufcdis, a eu sur tous, en » «Dpibjrant le aèmeMie, mmx d’empire a pour vont faire éfabotr d’un si baot ’» degré de gloire, et trrnir tqutes les belles > qualités qu’on admire en vous. LVvêque » d’Angers ayant employé les représenta> tions, et même l’excommunication afin > de Tons retirer, vous et votre conjointe, » du précipice dans lequel vous êtes tombés, > et purger votre maison de l’infamie qui » en est la suite, non-seulement vous n’a> vez satisfait ni à Dieu ni à justice ; mais, » oubliant votre modération naturelle, vous » avez persécuté tyranniquement Cet évèque, » auquel vous auriez dû vous soumettre, » quand bien même il eût porté contre vous une sentence injuste. Cependant, ajoute » le Pape, si vous croyez avoir des raisons > suffisantes pour justifier votre conduite, » je trouve bon qu’on assemble un synode > sous la présidence de Hugues, évèque de » Die, ou de Richard, abbé de Saint-Victor » de Marseille, dans lequel on examinera si > c’est vous qui devez réformer votre con» duite, ou l’évêque sa procédure. » On ne pas peut décider sur cette lettre si le mariage de Foulques étoit attaqué par l’évêque comme adultériu ou comme incestueux. Mais, attendu que l’auteur des gestes des Comtes d’Anjou nous apprend que la première femme de Rechin étoit morte lorsque celui-ci épousa Ermengarde il s’ensuit qu’on ne pouvoit lui opposer d’autre empêchement que celui de la parenté. Il fut i donc tenu, selon le désir du Pape, -au mois de janvier 1078, un concile à Poitiers, sous ) la présidence du légat Hugues de Die, dans lequel le Comte d’Anjou fit valoir toutes les raisons qu’il avoit de ne pas renvoyer son épouse ; si bien que Hugues, rendant compte I au Pape de ce qtii s’étoit passé, lui disoit t Ayant entendu selon l’ordre que vous » m’en avez donné, la défense du Comte » d’Anjou, j’ai presque été persuadé qu’il avoit raison. Cependant,, n’osant prendre p » sur moi de l’absoudre de l’excommuni» cation, j’at renvoyé la décision de cette » affaire aux lumières supérieures de votre » Sainteté. >