Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome18.djvu/29

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XXXIII. Post Qaurentiam à Leodio quiMrdunensiumepiscoporumhisloriamlu- a 7sT culenler compotuit ab anno 1 048 usque ad d l annum 1144, addild permixtim abbatum h Sancli- Yitoni surceuione, fuit atius Sancti- a Viloni monarhus qui Laurentii hitloriam, 1 c t circaannutni250,subeademformacontinua- n vil, srd tniniu prolixe etaccuratè.Quasenim N cli ron iras notas innppendicibus wlhistoriam q iletrnsium episcoporum modà desideraba- d mus, earumdem absentiam in Laurentii con- p tinuatore animadvertimus nec eas facile ji fuisse ! investigareabsqueadminiculobfevio- si ris chronici Sancti-Vitoni, quod ideircasubjiciendum duacimus.

ro_ .V.V.Y/I’. Richerius chronièi abbiliœ -n- SriwniensisinVosagoaucIor.Âlsaliuspàfrid d /’• fni*ievi(letur ;elcerteArgentoraliseschblas A fréquentasse ipse trttatur lib. [Y, cap. 34. ci Factus moaachusSenoniensis, amplumscrip- A sil chronicum,libris V distinctum, dequo sic e Imjuitur ipse in prologo :£go Richerius, mo- d n :.cliiis Senoniensis, |i(èt impenlo stylo, « inquit, et inculto serme^ne, ea qu« in qui- » busdiim scriplis versil)us adnotatis de » fiindatione hujus Senoniensis abbalia : et » succedentibus abbatibuk reperire potui » icèl perpauca siul relatu digna, et ea qu* >

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ejus usque ad9wnmii2Q. Ymibn in istis i nuila mentio ett epùcopi Tkeotgeri, cujus in episcopatu gui» milgêvimiu tomo XIV, i pog. 207. hHtambw catkolicis, id est, Papa obsetntentibus datus fuit episcopus < annol,qw> temporo fervebat dissidium < inter Imperatont et ltomano$ Pontifie*, i de inveslituris praslatontm, et ifieù in urbem < non fuit admissus. San« historia ejus me- i morabilis suo loco inserenda fuissei gestis t Mttensivm epiteoponpn, quippe ingentem i lacunam implevissei qui autem eorumdem i epucoporum hittoriam continuandam susce- t pet anonymus, vhèfrasulatu Stephani Bar- s remit, Theotgeri successork anno 11*0, e narrationem tuatn eœorditur, perducitque ( ad annum , cuimanlissamaddidit ano- 1 nymus aller usque ad annum 1 260. Hm duœ < : appendices haud magnam historiée adduni e lucrm,elquamquam ckronica siniappellatœ, p vix ullam habent chrohicam notant. Nos q autem quasdam addidimus exbrevi chronico Sanrti- Vincentii Melensis quod eisdem subjirimus. g

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ciiMjmadjacentium ecclesiarum fundutio- » ix^M eonstructorum nomina et dienitates, vel etiam ipsorum miracula, quibus- > que Kcgilms vel Imperatoribus claruerint, » mureltalbutientis infantislmic membra na ; » annulare et inserere studui tutius arbi- » tran* istius iiarrationis seriam rusticando C elucidare, quàna philosopliando obnubi- ci lare. Et quidem Richerius, in prioribus tri- q bus libris, v ix aliud prœter Sanctorum v itas c< congés*) t. Quod aufan de stylo luo inreliquis ei addit, eum. probe de se tenlire, nemo utique le mficias ibil. R

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t née 11 20. Mais oeux-oi ne parlent pas de l’évêque t Théotser, dont nous avons publie la vie ensoopale dans notre tome XIV, pag. 207. Il fut pourvu de cette prélature. vers l’an 1M7, par les t catholiques de Metz, c’est-à-dire, j ar les partisaas a t du Pape, dans un temps où la contestation des investitures entre les Empereurs et le* Papea étoit > dans la plus grande force, sans qu’il ait pu mettre leñ pied dans la ville. Cette vie intére&aaate auroit dû i entrer dans l’histoire des évéques de Metz, et auroit i rempli une lacune considérable. Des deux anot nymes qui ont repris cet ouvrage, l’un ne commence qu’à l’épisoopat d’Étienne de Bar, succès»seur de Théotger, t an 1 120, et finit en 1200 et, aprè» lui, un autre l’a continué jusqu’en 1 260. Ces deux continuations ne jettent pas une grande lumière sur l’histoire de l’église de Metz ; et quoiqu’on leur ait donné le titre de chroniques, elles ne sont rien moins que. cela, ne portant presque aucune date. Nous en avons suppléé quelques- unes d’après la petite chronique de SaintVincent de Metz, qui »uil immédiatement.

XXX1II> Après Laurent de Liège qui nous a donne- une bonne histoire des évèques de Verdun depuis l’année 1 048 jusqu’en Il 1 44, en y mèlant ta succession des abbés de Saint-Vannes, un aujre religieux de ce monastère, vers l’an 1250, continua cette histoire sur le même plan mais non avec la même étendue et la même exactitude. Nous y remarquons la même absence de dates que nous venons de reprocher aux continuateurs de l’histoire des évèques de Metz et sans la petite chronique de Saint Vannes, que nous avons jugé à propos de placer à la suite, nous n’aurions su où les prendre.

XXXIV. Richer, qui a composé la chronique de l’abbaye de Senones dans les Vosges, étoit Alsacien ; ou du moins il dit lui-même, liv. IV, chap. 34, qu’il «voit fait ses études à Strasbourg. Ayant embrassé la vie religieuse à Senones, il composa l’histoire de celte abbaye en cinq livres, dont il donne lui-même l’idJe dans son prologue « Moi Richer, dit-il, moine de Senones, quoique » dépourv.ude styleetpeu versé dans l’art d wrire, » j’ai entrepris de recueillir ce que j’ai pu trouver » dans des pièces de vers loucliant la fondation de » de l’abbaye de Senones et la succession des abbés,

» quoique la plupart de ces choses moritenlà peine

d’être rapportées j’y ai ajouté ce que j’ai vu » de mes yeux et ce que j’ai oui raconter àd’autres, » rapportant les fondations des églises de Lor» raine, les noms des fondateurs, leurs dignités » et même leurs miracles avec l’indication des » règnes, soit des Rois, soit des Empereurs sous » lesquels ces illustres personnages ont vécu. » C’est la matière des trois premiers livres, qui ne contiennent que des vies de Saints. Richer ajoute que, dans tout le reste, il n’a fait que balbutier comme un enfant,aimant mieux éclaircir la matière en style rustique que la brouiller par trop de philosophie. Quant au style, il faut convenir que Richer su se renjbre justice *k

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