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blissons des règles pour la nourriture des autres. Néanmoins ayant égard à la qualité des personnes faibles, nous estimons qu’un demi-setier de vin[1] par jour peut suffire à chaque Frère. Ceux qui ont reçu de Dieu la grâce de s’en passer[2], doivent savoir qu’ils en recevront une récompense particulière. Si néanmoins la situation du lieu, la nature des travaux, la chaleur de l’été, exige quelque chose davantage, il dépendra du Supérieur de l’accorder, se souvenant toujours qu’on ne doit commettre aucun excès ni dans le boire ni dans le manger. Quoique nous lisions que le vin ne convient point aux Moines, cependant, comme dans nos temps il n’est pas possible de le leur persuader,
