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LE CHARIOT DE TERRE CUITE.

(6) Comm. âryân mânyân miçrân abhyastabahuçâstrân.

(7) Le comm. fait remarquer que ce titre lui vient du chariot servant de jouet à Rohasena, fils de Chârudatta[1], dont il est question au sixième acte.

(8) Perdix rufa. Cet oiseau passait pour sucer les rayons de la lune ; de là, sans doute, la puissance visuelle qui lui était attribuée.

(9) Comm. C’est-à-dire des kshatryas qui font partie, à titre de dvijas, des castes supérieures : dvijamukhyatamah kshatrajdticreshthah trayo varnd dvijâtaya iti smrteh[2]

(10) Le comm. n’indique pas ce que l’auteur a voulu dire par là. D’ailleurs, cette énumération des connaissances du roi Çûdraka paraît imitée de celle qu’on lit Châniogya Upanishad, 5, i, 2.

(11) Açvamedha en sanscrit. C’était un sacrifice très-difficile et très-dispendieux, mais dont la célébration procurait de grands avantages temporels et spirituels.

(12) Comm. Comme fit Çarabhanga en célébrant le sacrifice appelé sarvasvdra : agnipraveço’pi san’asvâranâmake yajaaviçeshe yatlid çarabhaxigena krtas lathd bod dhyam. — Voir sur Çarabhawga s’otfrant en holocauste, Râmâyana, 3, 9. édition Gorresio.

(13) Comm. Il (le roi Çûdraka) connaissait l’âge auquel

  1. Je n’ai pas cru devoir adopter la transcription scientifique habituelle pour le nom de Chârudatta, qui se trouve pour ainsi dire consacré sous cette forme par les traductions précédentes.
  2. Bien entendu, je ne fais que résumer les idées exprimées par le commentateur dans les passages comme celui-ci où j’ai à en expliquer le sens. Je ferai remarquer aussi qu’en général je transcris scrupuleusement son orthographe en ce qui regarde les syllabes finales, car l’inobservation des règles du sandhi équivaut généralement de sa part à un système de ponctuation.