Page:René de Pont-Jest - La Duchesse Claude.djvu/473

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certaine, et maintenant que nous voilà séparées, car j’ignore quand et où je pourrai te voir, je n’ai plus que lui, ma bonne tante, pour me défendre et me parler de toi !

Elle n’osait dire : Et pour m’aimer !

Et, sanglotant, Claude laissa tomber sa tête sur l’épaule de Mme  Ronsart, peut-être un peu pour cacher la rougeur que te souvenir de ce qui s’était passé le matin même entre Paul et elle avait fait monter à son front.