Page:René de Pont-Jest - Le Cas du docteur Plemen.djvu/224

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Paris. Quelques instants plus tard, Plemen, qui l’avait conduite à la gare, rentrait chez lui, où, seul, ne craignant plus sans doute de trahir ses impressions, il s’écriait d’une voix étranglée, en se jetant dans un fauteuil :

— Et c’est moi qui suis la cause de tout le mal ! Ah ! je le jure bien, ils ne la condamneront pas, dussé-je payer son salut de ma vie. Si cela arrive, ils n’auront pas un docteur Plemen pour découvrir le poison dont je me serai servi !