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Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/107

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prodigué pour fêter notre bonne mère. Nous avons eu un beau pèlerinage à Notre-Dame-des-Anges, dans la forêt de Bondy, mais ce qu’il y a de plus beau, c’était de voir la ferveur de tous ces pieux séminaristes.

Voilà qu’on vient me déranger, adieu, tendre mère, adieu, adieu ! que ma lettre est écourtée ! ce n’est rien, mais adieu.

ERNEST