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XV


Gentilly, 25 juillet 1840.


Très chère et très bonne maman,

Je ne sais pourquoi, depuis que je suis en vacances, j’aime surtout à penser à vous. C’est sans doute parce que mon esprit libre de tout souci se porte naturellement vers ce qu’il aime, ou que mon cœur a besoin de vous voir ce qu’il y a de bien sûr, c’est que mon plus grand plaisir est de penser à vous, et surtout de recevoir de vos lettres. Écrivez-moi souvent, je vous en supplie, très chère maman, c’est mon plus grand bonheur, ne me le refusez pas.

Du reste, bonne et chère maman, je m’a-