Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/215

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supporter tout ceci. Croyez surtout qu’aussitôt votre lettre reçue, la joie renaîtra en mon âme. Mais promettez-moi, ma bonne mère, que vous me direz tout ce que vous pensez, comme je viens de vous dire tout ce que j’avais sur le cœur.

Adieu, mon excellente mère.

ERNEST RENAN