Page:Renan - Lettres du séminaire, 1838-1846.djvu/259

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qui veulent bien se souvenir de moi, de mon affection et de mon respect.

Adieu, excellente mère. Mon cœur voudrait vous exprimer sa tendresse. Mais vous la sentez et cela lui suffit. Vous êtes ma pensée de tous les instants, ma joie, mon espérance, mon repos. Béni soit Dieu qui m’a donné pour vous tant de tendresse ! Adieu, adieu, bonne mère.

E. RENAN
Cl. M.