c’est inévitable, je ne peux plus y échapper, il faudra, tôt ou tard, que je connaisse une autre femme !
Touchante petite pensée à porter, en médaillon, sur le cœur.
Elle finit par consoler.
Enfin nous ne sommes pas veufs. Quel remède ?
Un congé, un congé renouvelable de temps en temps. On n’a même pas ses dimanches. Je n’en peux plus. J’ai trop promis, par abus de confiance en ma sagesse. Je me dégage, je me donne de l’air, il faut que je marche un peu. Venez avec moi faire un tour… de promenade, à mon bras, sous les arbres.
Au clair de cette lune ?
Elle nous attend : Venez, je suis las de ne pouvoir qu’aimer. J’ai besoin d’adorer. Dites : voulez-vous que je vous adore ?
Je voudrais bien.
Ne refusez pas ce que j’ai de meilleur, ma façon