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Page:Renard - L’Homme truqué, suivi du Château hanté… - Crès, 1921.djvu/125

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L’ÉVASION DE L’HOMME TRUQUÉ
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rampe, cherchant avec une fièvre enfantine quel prétexte inventer qui me permît de grimper au deuxième étage et de revoir Mlle Grive, ne fût-ce qu’un instant. Mon cœur battait si fort que je l’entendais. Un bruit de voix, là-haut, me rendit heureux comme un collégien…

Tout à coup, je songeai que l’aveugle extraordinaire me regardait peut-être, à travers les murs ; et je me retirai, méditant au prodige qu’il m’avait révélé.