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Page:Renard - Le Coureur de filles.djvu/217

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BAUCIS ET PHILÉMON

Mais, apparemment, la peur qu’un moment d’arrêt ne fît tourner son vin le calmait, et il se remettait à piétiner, à broyer le raisin comme un ennemi personnel, les talons en feu, usant sa dernière vigueur, farouche et, par l’odorat, déjà ivre.