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telle, qui l’avait encadrée avec tendresse et simplicité dans un vieux cadre sans valeur du dix-huitième. On sait toute la grâce de cette charmante composition où deux amants enlacés se jurent leur foi devant l’autel d’Éros, au


cœur d’un bocage luxuriant dont la lumière du jour flatte les rameaux. La grand-mère Estelle, — aux épaules fameuses, — de sa plume docile et patiente, n’avait pas trop mal copié son modèle. L’élan des amou-