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ves ; voulu travailler sur U Oribeau ; 8, épreuves, déjeûner[1] chés M. de la Reynière ; scène de Sofie, ajoutée à la Fille d’homme à sistème ; 10, épreuves ; timor magnus sero.
457. 11 Xb. Canevas, Inclination de 19 ans (à la fin des Contemporaines). Compère Nicolas repris ; 10, Monsieur Nicolas 806-816 ; 13, 824 ; 14, 830 ; 15, 833 ; 16, 835… (sic)… 17, 839 ; 18, 842 ; 19, 849 ; 20, 851 ; 21, 18me canevas ; 22, fin du 18me canevas ; 22, épreuve P. Paysan-Paysane ; 23, fin d’U d’Oribeau.
458. 24 Xb. Vogues[2].
459. 25, Monsieur Nicolas, 855 ; 26, 857 ; 27, 860 ; 28, 865 ; 29, 869 : chés M. de la Reynière….. (sic)… 30, 871 ; 31, 872 ; 2de P. Paysan-Paysane f. iv.
Voilà donc enfin la cruelle année 1784
- ↑ « Un amusement que je me reprocherais d’oublier de décrire, parce qu’il fut délicieux, est celui des déjeuners du jeune La Reynière. Ces déjeuners avaient pour but la réunion de tout ce qui avait quelque mérite, soit à la capitale ou dans les provinces. Ils consistaient en café au lait, en thé, en tartines de beurre, avec des anchois. Ils commençaient à onze heures et finissaient à quatre par un aloyau ou un gigot de quinze à dix-huit livres. On ne buvait que du cidre avec la viande. On était libre avec décence. On pouvait amener qui l’on voulait, deux, trois, quatre : sonnes. Le café était faible, et l’on ne risquait rien d’en prendre tant qu’on pouvait. La dose était de vingt-deux tasses. Deux Marsyas, dont les bouches à robinet donnaient dans la salle, versaient l’une le café, l’autre le lait, de sorte que chacun se dosait comme il l’entendait… La conversation commençait. Elle roulait sur toutes sortes de matières. Ensuite on faisait des lectures de manuscrits… » (Monsieur Nicolas, t. XI, p. 168.)
- ↑ Vogues contemporaines, article inséré page 526 du 42e volume des Contemporaines. Il y est parlé d’inventions, de découvertes nouvelles, comme les Sourciers (chercheurs de sources), l’Airostacion (ballons), le Mesmérisme, etc.