220 Mes Inscripcions.
aux Italiens. Habitant de la Guadeloupe et le Duel[1]. Vu Granger. Beaucoup à faire à mes pièces.
776. 15 jul. Matin, ma collection des Contemporaines chés M. Toustain : 78 livres, 15.
777. 16 jul. Matin 2de L xix volume petit texte et 2de L xix volume petit texte et 2de G iii volume Parisiennes. Dîné chés Guillot, avec Lafargue[2], Geoffroi, Pons, deux frères ; vu à la fenêtre la mère italienne. Le soir, amené Marianne.
778. 17 jul. Achevé la feuille L petit texte ; vendu le papier de l’abbé Roi et 1 R et demie à moi. Le soir, reconduit la femme au joli pied de la rue du Mouton[3] ; observé, rue Saint-Martin[4], la petite Blanche[5], sortie 3 fois, et s’arrêtant chés l’épicier.
779. 18 jul. Matin, C xxiii volume ; fini la feuille M petit texte xix volume. J’ai vu deux fois Sara, rue de la Comédie-française[6], depuis qu’on bâtit la maison à côté de la sienne. Elle demeure au troisième : la première fois, elle était à la fenêtre avec son mari[7] ; la seconde, seule, et c’était samedi 15. Donné le Paysan
- ↑ Drame en trois actes, en vers, par Lieutaud.
- ↑ Etienne de Lafargue (1728-1795), avocat, auteur d’une Histoire de la Nouvelle Écosse, d’un Discours sur la lecture, de Poésies, etc.
- ↑ Entre la rue de la Tisseranderie et la place de Grève.
- ↑ Entre la rue des Arcis et la place Saint-Martin.
- ↑ Petite, en 1773 ; elle avait alors seize ans, d’après le Calendrier. Restif la rencontra rue de l’Arbre-Sec, lui fit un enfant et lui procura un amant sérieux. Il l’appelle la petite Blanche, par souvenir. (V. la note 4 de la page 251.)
- ↑ Actuellement rue de l’Ancienne-Comédie.
- ↑ Elle avait épousé Florimond. (V. la Dernière aventure d’un homme de quarante-cinq ans, t. II, p. 500.)