Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/113

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Connette, tandis que Minonne travaillait et qu’elle était travaillée, découvrit les tétons de madame Poilsoyeux et les siens. Elle en suça les bouts, elle se les fit sucer. Ce chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinée que son con, mit la jeune Connette en fureur amoureuse. Elle trousse madame Poilsoyeux, lui insère sa langue dans le con, lui chatouille le haut de la motte. La belle, émoustillée, regardait cependant Minonne. Celle-ci avertit ses deux fouteurs qu’elle était prête à décharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s’écrie : « Vits de Dieu ! » Et elle se pâme. L’enculeur et l’enconneur l’inondaient de foutre ; il ruisselait des deux côtés. Ma fille, vivement gamahuchée par Connette, est hors d’elle-même, et cette modeste beauté dit à la jeune fille : « Ote-toi, garce ! Un fouteur ! Un fouteur !… Deux… cent fouteurs !… » Traitdamour l’entend. Il dérange Connette acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond. Il emplit le trou du cul de Mme Vitnègre de beurre frais, s’en frotte le vit décalotté, se met le bas-ventre sur les fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de l’enculée, l’étreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cul de la belle jusqu’à la garde ; son con bien facé… Il crie à son maître : « A ce con béant