Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/121

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Son père l’avait pommadée la première fois. Pendant l’acte, il l’excite à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul, le con de sa fille, et les essuie.

« Dans la conversation, Piochencul apprit bientôt que Piochée avait un frère beau comme Adonis, c’est-à-dire parfaitement ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que mon confrère le sut, il l’acheta, comme sa sœur, et pommadé par le père, il l’encula. Peu de jours après, voulant foutre la sœur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père, gamahucher par le jeune frère, et il l’enconna, quand elle fut prête à décharger… Par la suite, il n’encula plus le joli enfant. « Bougre ! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner ta fille, sans être excité ; encule-moi là ton petit garçon, cela me fera roidir ! » Le père est forcé par son intérêt d’obéir au blasé. Ce qui fit tellement bander le vieux satyre, qu’il enconne et même encule la jeune fille.

« Il y a quatre ou cinq ans que cela dure. Quand le garçon a eu quinze ans, il lui a fait enconner sa sœur. Il la fout ensuite sans