Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/133

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même le con. Traitdamour rebanda comme un enragé ; il se précipita sur elle. « Enculez-moi, s’il vous plaît, monsieur, lui dit-elle, il me semble que ça me fera mieux… — Décharger, s’écria le bougre. Vous avez le con trop fatigué, et il lui perça le cul sans mouiller. — Je vais… redécharger, lui dit-elle, en continuant de se branler elle-même. — Attendez ! Attendez ! lui cria le jeune et vigoureux perforeur, je vous branlerai en vous enculant. » Conquette, enculée et branlée, roucoulait de plaisir…

En ce moment, Brisemotte, qui finissait Minonne, se jeta sur Rosemauve, abandonnée par Traitdamour pour ma fille. Elle se fit enculer et branler. Cordaboyau retourna Connette et lui en fit autant. Minonne, libre, alla gamahucher ma fille, que son frère tenait enculée, et moi je branlai Minonne. Les trois bougresses se récriaient que l’enculage branlé était divin.

Pour moi, j’étais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de Minonne, que j’avais à peine la force de branler, tombant de sommeil, et bandant encore pour toutes quatre : il me devenait indifférent laquelle j’enconnasse. Je le dis. Brisemotte m’avança Rosemauve tout enculée. J’allais enconner la vive brune. Minonne se