Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/181

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L’enculer, non, c’est du foutre perdu. Encore moins l’enconner ; je veux qu’elle me fasse un petit à queue. Mais si elle avalait le foutre, comme j’ai vu certaines femmes tempéramenteuses, je consentirais que tu l’embouchasses. » A ce mot, je saisis le vit de mon futur et je l’aurais avalé, s’il n’avait pas été si gros. Il me déchargea au fond du gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant dans l’estomac. « Ah ! Elle aime le foutre ! s’écria le basané. Elle a toutes les perfections !… Et elle sera aussi longtemps belle que féconde !… Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les foutres, le paternel est le meilleur. » Je me jetai sur mon père, le renversai sur le lit, saisis son vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu’à ce qu’il déchargeât. Je suçai son foutre avec délices… « Bon ! s’écria le poilu. Elle est dans les bons principes. Elle est impayable ! » Le basané me déshabillait, me déchaussait. Mon père et Guaé lui aidaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut en bas, tandis que je me rinçais la bouche. On me passa la grande chemise ; l’homme à queue, velu et tout nu, y entra, me suça les tétons, me fit lui darder la langue,