Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/194

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choses qui l’empêchèrent d’être achetée par Fysitère. Pour Guaé, je suis sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite avec Fysitère, après mon douzième enfant. »

Chapitre XXXVIII. De la conclusion de l’histoire des trois garces

Personne ne sait comment l’homme-caud découvrit que Guaé avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J’étais au lit. Ce fut la réponse de Guaé. « Je le crois, répondit Fysitère, et un homme est mort d’épuisement dans ses bras. — Elle a vaqué toute la nuit, mais c’est pour autre chose. Sa cousine la religieuse, ayant été un peu courtisée dans le jour, ses vapeurs hystériques l’ont reprise la nuit, par un rêve où elle croyait être foutue. J’ai été appelé. N’ayant pu l’enconner, je l’ai enculée. — Je me fous de son cul : Mais si tu l’avais enconnée… — Quant à ma femme, elle dort, et vous pourrez voir à la fraîcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas touché. — Voyons d’abord la carmélite. — Elle dort aussi. » Ils y allèrent. Guaé la découvrit sans l’éveiller. Elle était couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à cause de son cul, qui lui faisait mal. Elle l’avait en marmelade. « Comme tu les accommodes !… Et le con ?… — Il n’est pas si maltraité… Je l’ai un peu fatiguée par mes inutiles efforts, et puis elle s’est branlée. — Voyons la mariée ?… » Ils vinrent à moi. On sait