Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/232

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con de Rosemauve, et des tétons de Connette. Traitdamour prit le con et les tétons de sa sœur. Quant à moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l’une sur l’autre, entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale. Je repris :]

Je dis à Traitdamour, en particulier : « Il ne faut plus que je montre à la petite ; elle me fait trop bander, et je la foutrais au premier jour. — Ah ! mon cher maître ! quel bonheur pour elle et pour moi, si vous la dépuceliez ! La pauvre orpheline ! Elle n’a aucun plaisir !… » C’est que leur mère était morte, et que le père, remarié à une bonne amie de feu son épouse, à l’instante prière de celle-ci, avait, mourant lui-même, laissé pour belle-mère aux deux orphelins, la bonne amie de leur tendre mère. Je répondis que cela était bien difficile… que la petite sœur parlerait. « Non, je vous en réponds ; Minonne a déjà des désirs pour vous. Elle m’a dit qu’elle aimait bien quand vous lui touchiez le chose par-dessus la jupe. » Ce discours m’enhardit.

Un dimanche que j’étais seul avec Minonne, à la faire écrire, je ne pus résister à l’envie de lui baiser sa jolie bouche, puis un tétin, et de là ma main descendit rapidement à son conichon sans poil. J’éprouvai une érection