Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/234

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donna. J’allais la beurrer, quand la belle-mère, bonne femme au possible, rentra, ayant oublié son éventail. Elle vit mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit : « Gage que vous allez la tourmenter ?… Ça n’est pas mûre. Venez. » La vieille m’entraîna sur le pied de son lit, se troussa, me tira sur elle, et m’engloutit, malgré ma défense… Pour sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure à connailler. Je ne déchargeai cependant qu’une fois, contre la vieille une dizaine, car je m’aperçus qu’elle m’aimait. Ensuite, elle s’en alla, sans laver, en disant : « J’en marche mieux, la charnière graissée. »

Dès qu’elle fut partie, je fis mettre Minonne, qui avait tout vu, à la fenêtre ; je la troussai au-dessus des reins ; je lui beurrai le conin, et je rebandai roide. Je dis à la petite, en la commençant, de se cambrer la taille, pour mettre son petit trou bien à la portée du vit qui l’allait percer. Elle le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l’aide des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la décharge était retardée par le dégoût que m’avait causé le con gris de la vieille, je parvins en levrette jusques au fond, car je sentis sa céleste petite