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Chapitre VII. Du conin au poil follet

On sait que j’avais deux filles, ou que du moins ma clandestine les avait, car je me rappelle qu’elle prétendait que ses véritables filles étaient mortes en nourrice et que… et que… Elle parlait du roi… d’une princesse… Mais elle était si menteuse, que c’eût été une folie de la croire.

Conquette Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès l’âge de dix ans. Pendant que sa mère, non encore vérolée, couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette dans mon lit… Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil. J’introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je m’endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes.

Dans le jour, j’enconnais ou la maîtresse d’un certain Mivière, avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui demeurait dans la maison, ou une boiteuse des deux côtés, mais d’une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s’était laissé déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois fouteries me laissaient chômer