Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/67

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donner quelques coups de langue au con, pour baiser d’adieu. Il alluma sa bougie, sortit, et tira la porte.

Aussitôt je quittai ma cachette, et je m’élançai sur mon adorable fille, que les trois dardements de langue avaient émue et dont le con oscillait vivement. « Quoi ! vous étiez là ?… — Oui, ma divine. Il encule, moi j’enconne !… Tu me causes une érection terrible !… — Adoré papa, foutez !… foutez-moi !… (et c’est la première fois de sa vie qu’elle prononçait ce mot) ; je n’en puis plus moi-même. » Elle me saisit le vit, et se le mit dans le conin. « Pousse, me disait-elle. Il entre… Pousse, vit de Dieu ! vit paternel ! émets du foutre dans le con de ta fille ! » En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me trouvai bientôt au fond de son conin… Vive la fouterie ordinaire ! c’est la meilleure manière des quarante !… J’avais la bouche, la langue, les blancs tétins de ma fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans une femme qu’on fout, ses doux propos : « Cher vit ! vit divin ! comme il me chatouille le con !… Pousse ! ah ! bougre ! je me pâme. Je déchar… arge du fou… outre !… Ta langue !… cher amant ! Enconneur adoré !… Oh ! je redécharge ! Fous, sacré bougre ! Suce… mordille-moi les tétons !… » Je déchargeai délicieusement à la seconde émission de ma céleste fille. Au fond de son étroit conin, je me sentis adorablement pincé par ce que le vulgaire appelle le clitoris, et les gens de l’art le bas du conceptoire