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Page:Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, année 1919.djvu/297

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pour votre séance de jeudi dernier. J’ai bien du regret qu’il ait été perdu. J’ai su par les journaux et par Ginguené, avec qui j’ai diné chez Madame Hervey, tout le succès de votre cours sur un art où vous avez recueilli tant d’applaudissemens, parmi lesquels il faut distinguer ceux qui vous ont valu votre caractère loyal, franc, impétueux, des petites manières, et des dons extérieurs qu’il est rare de rencontrer ma présence à votre leçon vous eut sans doute du plaisir, mais la verve et l’inspiration, vous ne les avez dües qu’à vous même. C’est dommage que votre travail ne se soit pas appliqué à un fond plus heureux. Mais toujours pour moi de l’affection ; et je sens que mon cœur y répond bien sincèrement par l’amour et l’attachement que vos talents célèbres et vos qualité personnelles m’ont inspiré depuis longtemps.

Jean-François Ducis
Président de la de la
et de la littérature française
l’Instinational.