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sous-dialectes, de la plaine, du Rustan et du Magnoac, de la montagne, et d’Aure. Puis vient le dialecte commingeois, avec ses quatre sous-dialectes du Haut et du Bas-Comminges, du Haut et du Das-Gouserans. Le volume, commencé par une étude historique sur la langue basque, se termine par un coup d’œil sur les patois de l’Ariége et des Pyrénées-Orientales.

Le prince L.-L. Bonaparte a contesté, sur un point, la classification de M. Luchaire ; il s’agit du phénomène caractéristique du que préfixé aux formes de l’indicatif ; mais je n’ai pas en ce moment cette note sous les yeux. C’est pourquoi je me propose de revenir sur cet intéressant ouvrage. J’aurais notamment à présenter de nombreuses observations sur toute la partie du volume qui est relative à la langue basque, à son extension probable ancienne, etc., etc. En attendant, je ne puis que féliciter M. Luchaire de son travail, et le remercier de la manière honorable avec laquelle il a bien voulu me citer.

Julien Vinson.

RECTIFICATION.

C’est par erreur que le nom de M. Paul Sébillot, auteur de l’Essai sur le patois gallot qui a paru dans ce volume, pp. 78 et suiv., n’a pas été inséré à la suite de cet article.