Page:Revue de métaphysique et de morale, supplément 5, 1910.djvu/32

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-T- 3 – Coalommiors.– Imp. P. Brociard a Délégation, et qui parle l’idô, lui a rendu cet éclatant témoignage au Contrés des associations internationales de Bruxelles « J’ai traduit en Ido des passages de mes œuvres philosophiques, et il m’a semblé que ma pensée y trouvait une expression plus claire et plus précise ». D’autres savants nous ont dit « Pour nier l’énorme supériorité de l’Ido, il faut être aveugle ou de parti pris ». il n’v a pas de « logique sociale qui puisse obliger des savants à adopter une langue imparfaite et insuffisante, alors surtout qu’elle se donne comme « intangible », et incorrigible. Quel philosophe, notamment, oserait admettre et soutenu une langue où accuser se dit rendre coupable, où t’on confond courage et audace. où le même mot signifie événement, occasion et hasard, et où enfin « l’élection du comité par l’académie » ne se distingue pas de « l’élection du comité de l’académie ni même de ̃• l’élection de Paca demie par le comité » ? ° L. Couturàt.