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RÉVOLUTIONS DU BRÉSIL.
ou anéantie ; les estancias[1] furent détruites ; des étendues de terrain, qui formeraient presque des provinces, n’offrent aujourd’hui que des chardons[2], et où paissaient d’innombrables bestiaux, l’on ne voit plus que des bandes de chiens marons, des troupes de cerfs, des autruches et de féroces jaguars.
Aug. de Saint-Hilaire