ET SCULPTEURS MODERNES.
LÉOPOLD ROBERT.
CORRESPONDANCE INÉDITE. — DOCUMENS NOUVEAUX.
SECONDE PARTIE.
Tout ce qu’il y eut d’éclat dans le succès des Moissonneurs ne réussit pas à détruire la maladie mélancolique dont les sourdes atteintes minaient le malheureux artiste depuis bien des années, et dont il devait être un jour la victime. Cependant, à son entrée dans la carrière, son talent et son caractère lui avaient concilié de vives amitiés, bien faites pour l’arracher à ses tristesses maladives. Nous avons parlé de M. Schnetz et de M. Navez ; il est temps de parler d’une autre amitié qui a pris Robert à ses débuts et l’a couvert de son égide pendant toute la durée de sa vie d’artiste. On était en 1825, le tableau de l’Improvisateur napolitain venait d’être envoyé à l’exposition, quand Léopold,