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ibid – Se cache-t-on pour vendre à Londres ce qui sort des archives publiques de France, p. 86 – Dilapidations tolérées, p. 87 – M. HALLIWELL et les manuscrits de Cambridge, p. 88-89 – Procès gagné par M. RODD, p. 89 – Opinion d’un homme éminent, p. 90 – DELCARATION de M. HOLMES, premier adjoint au département des manuscrits du British Museum, p. 91 – Mes manuscrits étaient-ils cachés ? Après les avoir exeminés pendant un mois, il repousse avec indignation les calomnies dirigées contre moi, p. 91-92 – Déclaration motivée de M. Paul Lacroix (Bibliothèque Jacob), membre du Comité des monuments historiques qui a examiné les pièces, p. 95-97 – Lettre à M. De Monmerqué, p. 98-100 – MEA CULPA, ibid – Lettre de M. Paul Lacroix, p. 101 – Dois-je aller à Paris, ibid – Quand les experts déposeront-ils leur rapport ? P. 102 – Dix mois de prison sur la foi du Rapport de M. Boucly, ce serait trop, ibid – Qui a fait le Rapport Boucly, p. 103 – Lettre de M. Picchioni, ancien professeur au collège d’Eton, p. 105 – Quelles sont les gens qui crient le plus fort contre moi, p. 106 – Encouragements donnés à ceux qui veulent éclairer l’opinion sur mon compte, p. 107 – Conduite des experts, p. 108-109 – On me suppose coupable à priori, p. 109 – Maximes de morale, p. 100-111 – LES AMATEURS SONT TOUS DES VOLEURS, ibid – Le témoignage de M. Paulin est-il reçu ? p. 112 – Modèle de saisie régulière, p. 113 – Intimidation : y a-t-il un parti pris ? p. 114 – DANTE condamné par contumace comme voleur, p. 115 – Mort MERITEE de M. Rossi, d’après le National, p. 115 – Lettre de M. Molini, ancien bibliothécaire du grand-duc de Toscane, p. 116 – Si les livres de la Bibliothèque nationale vont en Italie, les livres et les manuscrits des bibliothèques de Florence viennent à Paris, ibid – Lettre d’un membre de l’Institut, p. 119. — Les magistrats sont-ils piqués ? — Si j’allais à Paris, m’oublierait-on en prison ? ibid – Lâche procédé, p. 120. – Opinion de M. ENCKE, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences de Berlin, p. 121. Sentiment de justice allemand, p. 122. — La conduite de M. Arago jugée par M. ENCKE, p. 123. – OPINION de M. STERN, publiée sous les auspices de 1’Académie de Gœttingue, p 127 — Mes calomniateurs marqués du sceau de l’infamie, ibid — OPINION de M. CH. WITTE, professeur à l’Université de Halle p.135. — Il déclare avoir été soupçonné d’un vol de livres, p. 139-140. – Opinion DE M. LEHMANN ; on se permet tout dans les luttes politiques, p. 141 – Opinion de M. BRANDES, bibliothèque à Berlin, p. 144 – Libéralisme criard, p. 146 – Opinion de M. HOFFMANN, bibliothéciare à Hambourg ; Opinion de M. le baron de REIFFENBERG, p. 157-158 – Opinion de M. de MORGAN, secrétaire de la Société astronomique de Londres, p. 159. — De quelles accusations doivent se défendre mes adversaires, p. 160. — Ce qu’on pense en Angleterre des accusations anonymes, p. 162. — Il aurait fallu que je fusse FOU (dit M. de MORGAN) pour rentrer en France, p. 165 – Caractère de M. Arago, p. 166 – Ai-je été condamné pour vol en Italie ? Il paraît que MM. Capponi, Gioberti, Guerrazzi et Mamiani, membres de divers gouvernements italiens, ont ignoré cette condamnation, p. 168 et suiv. – Ai-je dépouillé les Archives de Florence ? p. 172-173 – Louable concert des journaux français en ce qui me concerne, p. 177 et suiv. – Le National : élection corrompues, p. 177 – l’ILLUSTRATION et le National, p. 179-180 – Accusation de complicité, p. 181 – Je calomnie (dit le Siècle) les princes et les peuples qui aspirent à la liberté, p. 182 – Un CITOYEN qui s’empare d’une pièce, p. 185 – Dix mille volumes provenant de vols, p. 187-188 – Véritable pensée des gens qui me calomnie ; p. 190 – Catalogue des deux cent trois volumes A ESTAMPILLE, que j’adresse à M. de Falloux, p. 195 – Onze volumes provenant de la Bibliothèque nationale ; trois de la bibliothèque de l’Arsenal, etc. p. 195-200 – Livres portant l’estampille du Ministère des Cultes, du Ministère du Commerce, du Dépôt de la Guerre, du Conservatoire des Arts et Métiers, du Prytanée, du Corps législatif, du Tribunat, de l’Université, de l’Ecole de santé, de la Faculté de médecine, de l’Hôtel-de-Ville de Paris, p. 200-205 – Livres provenant de divers établissements publics de Moulins, de Lyon, d’Avignon, de Marseille, de Toulouse, d’Amiens, de Metz, p. 205-206 – Livres avec les estampilles des bibliothèques de Florence, de Ferrare, de Parme, p. 206-209 — N’a-t— on jamais gratté ou enlevé des estampilles ? p. 207 — Factures des libraires qui m’ont vendu ces deux cent trois volumes, p. 213 et suiv. — Trouve-t-on à Londres des autographes sortis des établissements publics de la France ? p. 239. —Lettres de créance de Joseph II,