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ibid –Lettres du Duc DE BERRY, de la princesse Caroline, de la princesse Elisa, de Louis Bonaparte, de Joachim Murat, de Camille Borghèse ; pièces portant l’estampille des divers ministères, p. 231-233. — M. Botta, l’historien, recommandé à M, de Fontanes, p. 235. — Comment on assoupit une AFFAIRE MALHEUREUSE, p. 236.— Lettres de CONDORCET et de LAGRANGE à l’Académie des Sciences, p. 238.— N’y a-t-il pas ; entre les mains des personnes les plus respectables, des autographes provenant désétablissements publics ? — Combien de pièces sorties des archives de l’Institut y avait-il dans le Catalogue des autographes de MADAME LA MARQUISE DE DOLOMIEU, dame d’honneur de la reine, p. 240. et suiv. — Y en avait-il dans le Catalogue de M. COLLIER DE BEAUBOIS ? p. 243. — Et dans d’autres Catalogues ? p. 245. — LISTE DE CENT CINQUANTE-TROIS VOLUMES MANUSCRITS QUI ONT DISPARU DE LA BIBLIOTHÈQUE DE L’INSTITUT, p. 249. — Signature de MOLIÈRE, p. 252. — Pourquoi laisse-t-on aux uns ce qu’on réclame aux autres ? p. 255. — La Bibliothèque nationale n’a-t-elle pas cédé ou vendu des autographes à M. DE MONMERQUÉ, à M. CAMPENON, à M. FOSSÉ D’ARCOSSE, etc. ? p. 257-263.— Un incident de la vente Soleinne, p. 267. — L’AN DES SEPT DAMES, provenant de Sainte-Geneviève, p. 269. — Les œuvres de ROGER DE COLLERYE réclamées vainement par la Mazarine, p. 270. — TROIS CENTS VOLUMES PROVENANT.DE LA BIBLIOTHÈQUE ROYALE TROUVÉS CHEZ M. AUGER, MEMBRE DE L’INSTITUT, p ; 271. — Y en avait-il chez M. DARU ? p. 272. — Comment après VINGT-HUIT ANS un manuscrit précieux de la bibliothèque de BERNE se retrouve dans la succession de MANUEL, p. 275. — PROTESTATION, p. 277. — Condamnation d’un bibliothécaire et archiviste de Troyes et de Tours, p. 290. — Extraits de Haenel. — Bibliothèque entière vendue au poids, p. 292. — Ce que pense un juge d’instruction des rapports de la magistrature avec le Gouvernement provisoire, p. 295. — Comment se font les ventes d’autographes à Paris, p. 298 et suiv. — Origine du Rapport de M. Boucly, p. 302. — Le NATIONAL déclare qu’il n’avait AUCUNE RAISON de me calomnier, ce qui ne l’empêche pas de recommencer, p. 305-308. — La Bible de Diodati, de la Bibliothèque de l’Arsenal, p. 308-309. — Avais-je une bibliothèque en Italie, p. 310.— N’ai-je jamais donné de livres à personne ? p. 310-311.-DON ROYAL ? p. 311.-A quelle époque avais-je la GALEOMYOMACHIA ? ibid. — Le VALERIUS FLACCUS et le MANILIUS de Bologne (1474), imprimés sur peau vélin, p. 312. — Collection Pucci, ibid. — N’ai-je jamais reçu d’argent d’Italie ? p. 313.-Leçon donnée par le Grand-Duc de Toscane aux dictateurs de Février, p. 314. — Petites additions bibliographiques et autres, p. 315 et suiv. — Description du manuscrit de Baena, ibid.— Ce qu’on peut trouver sur les quais, p. 316.-Je fais présent d’un manuscrit de Peiresc à la Bibliothèque royale, ibid.-M. MONTEIL ET LES ARCHIVES DES MINISTÈRES, ibid. — Encore des cinquante mille volumes enlevés à la Bibliothèque nationale, p. 317.-Voyages inconnus du Cardinal de Retz, ibid. — Archives de la Marine, p. 318. — AMEILHON, conservateur des manuscrits de la Bibliothèque nationale, alimente les auto-da-fé révolutionnaires, p. 319. — COLLOT-D’HERBOIS, conservateur des Archives de la Côte-d’Or, ibid. — Lettre curieuse de Garat, ibid. — Manuscrits de Séguier dépouillés, p. 320.— Mutilations de manuscrits, ibid.— Ce qu’est devenu le manuscrit original du procès de Galilée, ibid. — Aveu touchant au sujet des Archives de la marine, p. 321. — Autographes appartenant à la Bibliothèque nationale, saisis à Londres et à Paris, p. 322. — La fable du Loup et de l’Agneau, ibid.-Un faux autographe saisi comme pouvant avoir appartenu à la Bibliothèque nationale, p. 325. — Dilemme : les experts sont-ils de bonne foi, ou pèchent-ils seulement par ignorance ? ibid. — Je ne suis pas un délateur, p. 324.

ADDITIONS DE L’ÉDITEUR, M. PAULIN. Hommage rendu à un caractère honorable, p. 325. — LETTRE DE M. CANUTI, ibid.— Lettre de M. Libri en 1845, ibid ; — M Libri jugé par ses actions, p. 326.