Scène III.
Mon père, faut vous reposer. A la fin, vous serez malade !
C’est pas tout ça ; qu’est-ce qu’il y a d’écrit là ?
Là ?… Francine, adieu ! Je… je te méprise ! Tombant sur une chaise. Ah ! vous voyez comme il est corrigé, vous voyez comme il m’aime !
Et c’est signé ?
Oui, c’est signé.
,
Mais… c’est une insulte, ça !
Et si vous supportez ça, votre fille elle-même va vous mépriser !
Je ne veux pas le supporter ; je m’en vas le trouver à son bord, et devant tout l’équipage je lui dirai qu’il est un lâche !
Mon père, il vous tuera ! il m’en a menacée !
Dites rien devant elle, et venez. J’ai vu Bernard descendre au rivage et entrer chez Antoine. Il y aura sûrement couché, vous le prendrez au lit. Antoine vous soutiendra.
Oui, t’as raison ; viens avec moi.
Qu’est-ce que vous avez dit tout bas ? Où est-ce que vous allez, mon père ?
Je vais embarquer Nicolas pour la pêche.
Et vous n’irez pas…
Non, non, je vous réponds de lui.
Scène IV.
Oh ! celui-là, je ne me fie point à sa parole Mon père a unemau-