- I. Correspondence respecting affairs in China, 1859-60. — II. Papers relating to the affairs of China, 1864. — III. Relation de l’expédition de Chine en 1860, rédigée au dépôt de la guerre, 1862. — IV. Relation de l’expédition de Chine par le lieutenant de vaisseau Pallu, 18133. — V. Négociations entre la France et la Chine en 1860, Livre jaune du baron Gros, 1884. — VI. Mémoires sur la Chine, par le comte d’Escayrac de Lauture, 1864. — VII. La Chine et les puissances chrétiennes, par D. Sinibuldo de Mas, 1861.
La prise des forts de Takou ouvrait aux alliés le chemin de Tien-tsin[1]. Le corps d’armée chargé de couvrir l’embouchure du Peï-ho était en pleine fuite ; la garnison de Tien-tsin avait abandonné les ouvrages établis à grands frais pour la défense de la ville. San-ko-lin-sin, accompagné seulement de quelques cavaliers, était parti dans la direction de Pékin. La route, par terre comme par eau, se trouvait donc complètement libre ; elle avait été d’ailleurs éclairée par le contre-amiral Hope, qui, dès le 23 août, ne prenant conseil que de son impatience, s’était vivement lancé, avec quelques canonnières, à l’intérieur du fleuve, qu’il avait remonté le même jour jusqu’à Tien-tsin. Le gouverneur-général Hang et les deux commissaires impériaux récemment nommés, Ouen et Heng-ki,
- ↑ Voyez la Revue du 15 juillet.