1o Pour le père. | 2° Pour la fille. | |
a = | rouge brique |
rouge franc. |
à = | rouge nuancé de jaune |
id. |
â = | rouge saumoné |
id. |
e = | blanc clair |
id. |
è = | blanc pur |
id. |
ê = | blanc citronné |
id. |
i = | noir |
id. |
o = | blanc vif |
id. |
ô = | nuance d’ocre |
id. |
u = | gris ardoisé |
id. |
Les voyelles, ou sons ouverts, sont toutes nettement colorées, et cette netteté de coloration est la même pour le père et pour la fille ; mais, comme le montre le précédent tableau, la coloration de l’a, de l’o et de l’u diffère pour M. B. et Mlle B.
Les consonnes, ou sons fermés, n’ont pas de couleur franche ; elles sont toutes plus ou moins grises ; pourtant au gris fondamental s’ajoute, comme on va le voir, une nuance spéciale :
b = blanc grisâtre.
c = blanc,
d = blanc,
f = : gris ardoisé,
g = blanc,
h = gris.
j = noir pâle,
k = gris rougeâtre.
1 = gris rosé.
m = bleu grisâtre.
n = gris verdâtre.
p = blanc jaunâtre,
q = : blanc.
r = brun rougeâtre.
s = blanc verdâtre.
t = gris noirâtre.
V = gris nuancé de vert.
X = gris foncé,
y = gris noirâtre.
z = grisâtre.
La principale différence entre le père et la fille, c’est que le z est vert pour Mlle B. En passant des lettres aux mots, on remarque que dans les mots, chaque lettre prononcée conserve sa valeur propre ; toutefois, la coloration des consonnes s’efface devant la coloration des voyelles ; aussi carafe (a-a-e) et salade (a-a-e) ont à peu près mêmes couleurs. Si la voyelle se trouve redoublée, la coloration est très intense ; ainsi