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une influence étrangère qui s’impose et produit un état de conscience contraire, avec les sentiments et états physiologiques concomitants. Il en résulte une impulsion puissante à l’action, qui supprime et remplace l’état d’arrêt ; mais c’est à peine une volition, tout au plus une volition avec l’aide d’autrui.
Ce groupe de faits nous conduit donc à la même conclusion : impuissance de la volonté à se constituer[1].
- ↑ Pour les faits, voir Briquet, Traité de l’hystérie, ch. X ; Axenfeld et Huchard, ouvr. cité, p. 967-1012 ; Cruveilhier, Anatomie pathologique, liv. XXXV, p. 4 ; Macario, Ann. médico-psychol., tome III, p. 62 ; Ch. Richet, Revue des Deux Mondes, 15 janvier 1880 ; P. Richer, Études cliniques sur l’hystéro-épilepsie, etc., 3e p., ch. II, et les notes historiques.