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Page:Richepin - Les Caresses, Charpentier, nouv. éd.djvu/151

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thermidor


Tu peux m’ouvrir le ventre et me casser les reins.
Frappe ! Je ne crains pas la mort. Ce que je crains,
C’est que ta soif d’aimer ne soit pas assouvie ;

Et je veux t’enivrer sans fin, jusqu’au moment
Où, les yeux effarés, tu briseras ma vie
Comme un ouvrier soûl brise son instrument.