Page:Rictus - Doléances, 1900.djvu/84

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Ya l’ fricht’ti su’ la tab’ bancale
Et par la tabatière ouverte
Il entre avec la bris’ du soir
Cette infami’ d’odeur fécale.
Il l’a r’niflée... il en mang’ra.....

Ça sent la... chose et les lilas.

Où sont les goss’s ? Y sont pas là :
Yen a qu’est à gouaper quéqu’part,
Yen a un qu’est au cours du soir,
Yen a un aute au régiment
Et yen a un qu’est au ballon...
N’a fait quéqu’ sal’ coup, on sait pas.

Quant aux fill’s yen a justement
Eun’ qui n’a su que s’ faire enfler,
Et son dab quand il a su ça
Qu’on n’ causait que d’Ell’ dans l’quartier
La foutue dehors à coups d’pieds,
Ell’, son gros bide et son p’tit gas
Et depis yen a pus d’ nouvelles :
A doit êt’ morte ou tourné’ grue.