Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/127

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Mon plaisir, c’était l’ soir venu,
avant que d’ te mette au dodo,
De t’ déshabiller tout « entière »,
tant c’était divin d’ te voir nu :
 
et j’ t’admirais, j’ te cajolais,
j’ te faisais « proutt » dans ton p’tit dos,
et j’ te bisais ton p’tit darrière…

(j’ t’aurais mangé si j’aurais pu)
 
Et toi… t’étais si caressant
et rusé… et intelligent…
Oh ! intelligent, fallait voir,
pour c’ qui regardait la mémoire
t’apprenais tout c’ que tu voulais…
tu promettais, tu promettais....